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The Lighthouse - La Lumière

19 mars 2011

19 mars 2011 Non-violence

"Celui en qui la non-violence a fermement pris racine, tous les êtres viennent à lui"

Upanishads ou Vedas, je ne sais plus.

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16 mars 2011

16 mars 2011, second texte écrit le 3 mars 2010

Tu es perdu et tu voudrais trouver un chemin. Il te semble parfois que tout repose sur l'intérêt, que l'amitié entre les gens, les peuples, n'existe pas.

Tu peux trouver une voie. N'UTILISE PAS TON INTELLIGENCE POUR LE MAL. Penses-tu sérieusement être le (la) seul(e) à avoir été créé(e) avec une envie de Bien ? N'as-tu jamais connu le Bien, des gens bons ? Souviens-toi de ceux qui t'ont donné le Bien, qui t'ont transmis le Bien. Toi aussi, prends exemple sur eux, fais et transmets le Bien dans la mesure de tes moyens. Souviens-toi de Dieu qui t'a aidé, souviens-toi de ceux qui t'ont aidé en dehors de tout intérêt.

Le fait que le monde existe toujours, malgré toutes ces guerres, ne prouve-t-il pas que jusqu'à aujourd'hui le Bien a toujours gagné ?

Veux-tu qu'on se souvienne de toi pour le Bien, ou pour le Mal, que tu as fait ? Pour les gens que tu as aidés ou sauvés, ou pour les gens que tu as tués ou enfoncés dans la misère et le malheur ?

16 mars 2011

16 mars 2011, écrit en mars 2010 Enfants d'Irak

Je publie deux textes (je vais faire deux publications) que j'ai écrits le 3 mars 2010 (il y a un an) :

 

Tant que nous ne débloquerons pas notre amour, l'amour et le Bien qui sont dans notre coeur, pour ne faire qu'Un (rappelez-vous, Dieu est Un), tant que nous dirons "nous sommes à l'abri, ce qui arrive aux enfants d'Irak aux membres amputés à cause de la guerre ne peut pas nous toucher, ce qui se passe en Afrique, la misère aussi chez nous, et partout, ne peuvent pas nous toucher", tant que nous trouverons normal tout le mal qui se produit, que nous produisons dans le monde, nous sombrerons.

Car, tout comme tout comme les cellules de n'importe quel organisme, nous sommes liés les uns aux autres ; tu es lié à moi, je suis lié à toi.

Le moment est venu d'une vraie solidarité pour répondre aux problèmes de notre temps. Nous allons fonder un organisme (si Dieu le veut) au sein duquel chacun sera tout et partie, au sein duquel chacun aura sa place, son rôle, son travail.

Dieu veut l'Union, la Solidarité. (Je rajoute aujourd'hui : je pense que l'Union et la Solidarité nous rapprochent de Dieu, je ne veux pas blasphémer en prétendant savoir ce que Dieu veut)

27 février 2011

27 février Sortir de la drogue Suite 2

                                                                                          Dieu est vivant (je m'expliquerai sur 

                                                                                          ma croyance, que cela ne vous

                                                                                          angoisse pas :-))

 

Je publie ce nouveau message aujourd'hui, bien que j'en ai écrit la plus grosse partie le 2 février.

Pour clarifier ce que je disais le 28 janvier : il ne faut pas attribuer de pouvoirs magiques à la drogue, comme on le fait trop souvent (je parle d'après mon expérience personnelle et ce que j'ai pu constater autour de moi chez les "toxicos"). Cette opinion, qui est également présente chez les non-drogués, comme je l'ai déjà dit, est fausse et bien sûr contre-productive, puisqu'elle renforce l'idée de fatalité de la dépendance.

Donc, je me mets assez vite à fumer tous les jours, je dirais cinq à sept joints minimum. Cela se passe la plupart du temps dans le parc derrière le lycée, avec d'autres fumeurs et souvent pendant les heures de cours. Suivre les cours était déjà difficile du fait des problèmes liés à l'adolescence, cela le devient nettement plus en fumant du "shit" (haschich). Je rate complètement mon baccalauréat (je ne me présente même pas à la plupart des épreuves).

Il faut comprendre que LA VIE DU VRAI FUMEUR, surtout s'il ne travaille pas encore, ou ne travaille pas tout court, TOURNE ESSENTIELLEMENT AUTOUR DU HASCHICH (je propose comme définition du "vrai fumeur" : celui qui cherche régulièrement à s'en procurer, par opposition à celui qui fume lors d'une fête quand il en a l'occasion, ou qui va en acheter quelques fois, par curiosité plus qu'autre chose. Alors qu'on peut avoir l'impression d'être très brillant après avoir fumé, en fait la conversation s'appauvrit, on ne parle pratiquement plus que du haschich. La plupart sont amoureux du haschich : comment on le cultive, les bons shits qu'on a fumés ; où on s'en est procuré, où on va s'en procurer ; les mecs qui assurent, qui ont des bons plans (qui savent s'en procurer du bon) ; ceux qui sont vraiment initiés (les plus âgés, qui sont allés au Maroc, en Inde ; comment on était complètement défoncé, ou untel était complètement défoncé tel jour, anecdote à la clé ; le reggae ; etc. Remarquons aussi que les filles sont peu présentes (tendance certainement à "compenser" par le haschich, mais c'est une vaste question).

LE DROGUE JOUE SA VIE, fait semblant : sa vie devient un ersatz, du toc. il vit dans sa tête. J'en reparlerai peut-être plus tard.

Je me mets à travailler en intérim pour apporter ma contribution financière à la gestion du foyer. Je prends ce que je trouve, ce qu'on me propose, c'est-à-dire principalement du travail en usine, à la chaîne, et de la manutention.

Une parenthèse : si la manutention ou le déménagement, voire le magasinage, sont des activités abrutissantes, du fait du peu de perspectives qu'elles ouvrent et de leur caractère relativement répétitif ou en tous cas peu gratifiant et intéressant, ce n'est rien par rapport au TRAVAIL A LA CHAINE : le travail à la chaîne pousse véritablement, physiquement, à se "défoncer la gueule", c'est-à-dire à fumer et à boire de l'alcool (ou plus certainement, mais ce n'était pas encore mon cas).

A bientôt chère lectrice, cher lecteur, porte-toi bien.

9 février 2011

Les humbles, 9 février 2011

En bas, dans les bas échelons de la société, le coeur et l'esprit d'une armée d'humbles brillent, Dieu soit béni (le mot "armée" n'est bien sûr qu'une image ; il n'est donc pas nécessaire de créer une énième structure Etatique visant à les repérer dès leur plus jeune âge :-) et à les ficher, ni de promulguer une nouvelle loi pour punir leurs comportements déviants).

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9 février 2011

Nos enfants et le totalitarisme 9 février 2011

Profitons de la période de démocratie que nous vivons en France - nos plus hauts dirigeants, nos représentants, n'ont-ils pas pour maîtres à penser et héros Jaurès ou Guy Moquet ? - pour apprendre à nos enfants ce qu'est le totalitarisme.

Faisons-le, bien sûr, dans un esprit de non-violence et non de paranoïa, de revanche ou de vengeance. Le but est d'améliorer leur connaissance de ces sujets, de développer leur lucidité et leurs capacités de vigilance.

A l'heure actuelle, nos enfants ne sont en effet absolument PAS PRÊTS à affronter un éventuel régime totalitaire, une DICTATURE.

Cette connaissance des dictatures et du totalitarisme, ou plutôt des totalitarismes, pourra peut-être leur servir.

28 janvier 2011

28 janvier 2011 Tu peux arrêter la drogue, suite

Je vous expose mon cas, afin que vous sachiez pourquoi je parle de ce sujet de la drogue.

A part de courtes interruptions, j'ai passé toute mon enfance - en fait jusqu'à presque 21 ans - dans une "cité". Je commence à fumer des cigarettes à l'âge de 11 ans au collège et avec des camarades ou connaissances du collège, souvent de ma cité ; mais je ne fume pas beaucoup. A 17 ans, je commence à fumer des joints, car je passe par une phase où je suis mal dans ma peau.

Première constatation : pour moi, fumer mon premier joint représente un acte de profond désespoir. Je suis persuadé que je deviens d'un coup un "drogué", dépendant, etc., car c'est ce que la grande majorité des adultes de l'époque pensent et disent. Cela a un effet pervers, et je sais que c'est le cas pour beaucoup de fumeurs. Lorsque je m'aperçois que les adultes m'ont donné de fausses informations concernant le produit, que fumer n'est en fait pas si terrible que ça, je perds toute confiance en leurs conseils. D'une part, je me mets comme beaucoup d'autres à considérer le haschich comme complètement anodin, ce qui est faux ; d'autre part, au moment de franchir le pas de l'héroïne, plus tard, je ne prends plus au sérieux les avertissements. La situation est d'ailleurs la même en ce qui concerne les drogues dures, avec cette idée que tout est foutu à partir du moment où on y touche. Je ne suis pas en train de vous dire que, si un de vos proches se met aux drogues dures, il faut prendre la situation à la légère. Mais il faut aussi, dans l'intérêt du toxicomane, éviter de dramatiser à outrance : seul Dieu est tout-puissant, la drogue n'est pas un dieu tout-puissant, qui nous tiendrait sous son empire. Nous n'avons pas peur de la drogue. Tu peux arrêter la drogue aujourd'hui, ce soir.

A bientôt, chèr(e) lectrice ou lecteur.

Dieu est Vivant, et toi aussi tu es vivant.

18 janvier 2011

18 janvier 2011 Tu peux te sortir de la drogue

L'Eternel, ton Dieu, est Vivant, est Vie.

Ayant été quelques temps dans la drogue (héroïne entre autres et surtout) durant ma jeunesse et m'en étant complètement sorti, je voudrais apporter mon témoignage.

Beaucoup de gens qui n'ont pas connu la drogue pensent qu'il est impossible pour un toxicomane (drogué, toxicomane, quelle différence ? Appelons un chat un chat) de se débarrasser de sa dépendance de façon définitive et de refaire sa vie.

Non seulement cette croyance irrationnelle en la fatalité de la drogue est fausse, mais elle peut avoir un effet très négatif sur celui ou celle qui souhaite s'en sortir.

En effet, il ou elle (la plupart de ce que je dis en tant qu'homme est, je pense, valable également pour les femmes) a besoin des éléments suivants : confiance, en premier lieu bien sûr confiance en sa capacité à arrêter la drogue ! Besoin d'aide et de soutien : qu'on l'estime, qu'on l'aime, de façon très proche et très présente, afin de ne pas rester dans la solitude trop longtemps.

Besoin qu'on l'aide, qu'on l'encourage à faire les mêmes choses que nous faisons, vous et moi. Car il ou elle doit reprendre conscience et contrôle de son corps, de son esprit et de ses émotions (il ne faut par contre absolument pas faire les choses à sa place).

Il a également besoin d'être cadré.

Je dois te laisser, lectrice, lecteur, à très bientôt. Je publie déjà cette ébauche sur le sujet de la drogue, que je détaillerai bientôt.

12 novembre 2010

Liyakot Ali, 12 novembre 2010

Ton Dieu, l'Eternel, est vivant ! Merci à Lui.

Agnostique, Athée comme je l'ai été, ne ferme pas ce blog parce que j'évoque Dieu ! Je m'expliquerai un autre jour à ce sujet. Tu n'as pas besoin d'être croyant pour apprécier ou ne pas apprécier ce blog. Souviens-toi que nous sommes tous égaux, croyants ou pas.

Je crée ce blog aujourd'hui parce que j'ai lu  dans le National Geographic de ce mois un article intitulé "No Minor Issue", qui parle de Liyakot Ali et du travail des enfants.

Liyakot Ali est un enfant de 13 ans qui travaille dans une usine au Bangladesh. Ses bras sont maigres et les veines de ses mains saillantes. Dans ses yeux cernés par trop de travail se mêlent la compréhension de l'injustice qui lui est faite et la candeur de l'enfance, comme une révolte douce, encore exempte de méchanceté et de Mal.

L'article nous dit qu'ils sont 215 millions d'enfants (de MOINS DE 12 ANS, Ali n'en fait même pas partie...) à trimer dans le monde.

Je crée donc ce blog pour ces enfants, pour mes enfants, pour tes enfants, pour nos enfants à tous ; et aussi bien sûr pour ceux qui n'ont pas d'enfants.

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